★★★★☆
3.6 étoiles sur 5 de 679 avis
2013-08-22
Les anges meurent de nos blessures - de Yasmina KHADRA (Author)
Caractéristiques Les anges meurent de nos blessures
La ligne ci-dessous montre des caractéristiques complètes du Les anges meurent de nos blessures
| Le Titre Du Livre | Les anges meurent de nos blessures |
| Date de Parution | 2013-08-22 |
| Traducteur | Caia Nahia |
| Quantité de Pages | 160 Pages |
| La taille du fichier | 58.46 MB |
| Langue du Livre | Français & Anglais |
| Éditeur | Mother Tongue Publishing |
| ISBN-10 | 5674448142-MPL |
| Type de eBook | AMZ ePub PDF CCF PRC |
| de (Auteur) | Yasmina KHADRA |
| EAN | 339-8323791481-NQK |
| Nom de Fichier | Les-anges-meurent-de-nos-blessures.pdf |
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Critiques 82 citations 247 extraits de Les anges meurent de nos blessures de Yasmina Khadra De tous les livres de Y Khadra que jai lus celuici me semble le
Yasmina Khadra est l’auteur de la trilogie Les Hirondelles de Kaboul L’Attentat et Les Sirènes de Bagdad La plupart de ses romans dont À quoi rêvent les loups L’Écrivain L’Imposture des mots et Cousine K sont traduits dans 42 pays
Noté 41 Les anges meurent de nos blessures Yasmina KHADRA et des millions de romans en livraison rapide
Je mappelle Turambo et à laube on viendra me chercher Et vu ce qui suit on comprend très vite quon ne va pas lemmener en promenade Turambo
Les Anges meurent de nos blessures 2013 26 citations Référence citations Page 1 sur un total de 2 pages Citations Les Anges meurent de nos blessures 2013
Livre Il se faisait appeler Turambo du nom de son village natal Il avait pour lui sa candeur désarmante et un direct du gauche foudroyant Il connut la gloire largent et la fièvre des rings mais aucun trophée ne faisait frémir son âme mieux que le regard dune femme De Nora à Louise dAïda à Irène il cherchait un sens à sa vie
Il se faisait appeler Turambo du nom de son village natal Il avait pour lui sa candeur désarmante et un direct du gauche foudroyant Il connut la gloire l’argent et la fièvre des rings mais aucun trophée ne faisait frémir son âme mieux que le regard d’une femme